Mike Kasime rapporter du conseil provincial de la Jeunesse en Ituri est arrivé ce Jeudi 12 septembre 2024, en ville de Bunia.Celui-ci à foulé le sol de ces ancêtres via l’aéroport Murongo après près d’une semaine dans la capitale de la République démocratique du Congo ( RDC)

Dans la foulée, au pied de l’avion Mike , a fait savoir à l’a presse que son objectif d’aller à Kinshasa était « pour aller participer à une table ronde » qui avait regroupée tout les présidents de la jeunesse de toutes les vingt-six ( 26) provinces, du 28 au 30 Août dernier.

« Nous avions profité de l’occasion pour présenter toutes les doléances de la Jeunesse. Vous savez que la jeunesse de l’Ituri est en chaumage , la guerre nous menaces,…les jeunes sont obligés d’intégrer les groupes armés. Nous avons pris l’option de décourager tout les jeunes qui ont tournés le dos contre le gouvernement congolais.» a indiqué notre interlocuteur

Pour Mike Kasime, son séjour dans la capitale l’a permis de rencontrer puis échanger avec le Vice premier ministre de la défense nationale, Samy Adoubango.

« Il nous a rassuré de son accouchement . Il nous a rassuré qu’il sera bientôt en province de l’Ituri pour sensibiliser les jeunes qui déstabilisent la province afin qu’ils puissent revenir au bon chemin. L’excellence Samy Adoubango il nous a rassuré d’être à côté de nous ( la jeunesse). Il a prouvé d’insuffisance qu’on était sa priorité de priorité. Nous attendons la concrétisation. Parcequ’il y a plusieurs doléances venues de toutes les vingt-six (26) , provinces de la RDC. Nous espérons qu’ avec le gouvernement actuel tout ira mieux» a-t-il poursuivi

À la question de la délinquance juvénile, le chef conseil provincial de la jeunesse de l’Ituri, note que la phase de la sensibilisation évolue bon très à travers tout les cinq ( 5 ) territoires.

« Pragmatiquement nous sommes dans la phase de sensibilisation , le conseil provincial et le gouvernement nous serons engagé dans l’arrestation surtout de jeunes qui veulent se méconduire . On fera tout moyen de toucher le fond. Même ceux qui sont dans les villages on va le décourager. Ça n’ honorent pas. La jeunesse d’aujourd’hui c’est l’avenir de demain. Si la jeunesse n’est pas bien encadré aujourd’hui, demain elle sera dans la perdition » a-t-il conclu

Elias Lwayivweka